Eerste deel van een driedelige autobiografie van de Zuid-Afrikaanse schrijfster Deborah Levy (1959), waarin zij een feministische reactie geeft op het essay van George Orwell 'Why I write' uit 1946.
Tweede deel van een driedelige autobiografie van de Zuid-Afrikaanse schrijfster Deborah Levy (1959), waarin zij haar leven als 50’er beschrijft, een periode waarin haar huwelijk uiteenvalt en haar kinderen uit huis gaan.
Derde deel van een driedelige autobiografie van de Zuid-Afrikaanse feministische schrijfster Deborah Levy (1959), waarin zij nog steeds niet genoeg geld heeft om haar droomhuis te kopen, veel reflecteert op vrouwenlevens en diepgravende ontmoetingen met andere vrouwen heeft.
Tweede deel van een driedelige autobiografie van de Zuid-Afrikaanse schrijfster Deborah Levy (1959), waarin zij haar leven als 50’er beschrijft, een periode waarin haar huwelijk uiteenvalt en haar kinderen uit huis gaan.
Eerste deel van een driedelige autobiografie van de Zuid-Afrikaanse schrijfster Deborah Levy (1959), waarin zij een feministische reactie geeft op het essay van George Orwell 'Why I write' uit 1946.
Derde deel van een driedelige autobiografie van de Zuid-Afrikaanse feministische schrijfster Deborah Levy (1959), waarin zij nog steeds niet genoeg geld heeft om haar droomhuis te kopen, veel reflecteert op vrouwenlevens en diepgravende ontmoetingen met andere vrouwen heeft.
Deborah Levy revient sur sa vie. Elle fuit à Majorque pour réfléchir et se retrouver, et pense à l'Afrique du Sud, ce pays qu'elle a quitté, à son enfance, à l'apartheid, à son père - militant de l'ANC emprisonné -, aux oiseaux en cage, et à l'Angleterre, son pays d'adoption. A cette adolescente qu'elle fut, griffonnant son exil sur des serviettes en papier. Telle la marquise Cabrera se délectant du "chocolat magique", elle est devenue écrivaine en lisant Marguerite Duras et Virginia Woolf. En flirtant, sensuelle, avec les mots, qui nous conduisent parfois dans des lieux qu'on ne veut pas revoir. Ce dessin toujours inédit que forme le chemin d'une existence. Ce que je ne veux pas savoir est une oeuvre littéraire d'une clarté éblouissante et d'un profond secours. Avec esprit et calme, Deborah Levy revient sur ce territoire qu'il faut conquérir pour écrire. Un livre talisman sur la féminité, la dépression, et la littérature comme une opération à coeur ouvert.
Nous avions quitté Deborah Levy gravissant sur son vélo électrique les collines de Londres et écrivant dans une cabane au fond d'un jardin. Nous la retrouvons, plus impertinente et drôle que jamais, prête à réinventer une nouvelle page de sa vie. Tandis que ses filles prennent leur envol, elle nous emmène aux quatre coins du monde, de New York aux îles Saroniques en passant par Mumbai, Paris ou Berlin, tissant une méditation exaltante et follement intime sur le sens d'une maison et les fantômes qui la hantent. Entremêlant le passé et le présent, le personnel et le politique, la philosophie et l'histoire littéraire, convoquant Marguerite Duras ou Céline Sciamma, elle interroge avec acidité et humour le sens de la féminité et de la propriété. Par l'inventaire de ses biens, réels ou imaginaires, elle nous questionne sur notre propre compréhension du patrimoine et de la possession, et sur notre façon de considérer la valeur de la vie intellectuelle et personnelle d'une femme.